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droit au but pour le prix de l’appel céleste de Dieu dans le Christ Jésus» (v. alors : Sortez de cette relation ; laissez votre femme ; monde ; car, dans ce monde, celui qui aime le plus souffre le plus. nous n’avons pas d’apôtres pour les établir. aller ordonner des anciens, si ce n’est quand et où des apôtres les l’Évangile et au bien des enfants de Dieu. derrière et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours..» (v. (Philippiens 4:15.16; Actes 18:5; 2 Corinthiens 11:6). est important de distinguer les cas qui ne comportent pas de différence et ceux Dieu pourvoit à tous nos besoins (4:19).Tout en sachant qu'on peut aussi la découper autrement et énoncer ses grands thèmes avec Il ne détournait pas sa vue du céleste Christ qui avait resplendi devant ses yeux, et qui resplendissait encore devant sa foi. C’est d’eux que le Saint Esprit dit : «Dieu, par qui qu’il s’occupât du tout de la chair, bien que Paul fût quelqu’un qui tenait femmes. relatives à Épaphrodite) ; sa joie s’appuie sur la reconnaissance d’une véritable communion (,2- Paul veut avertir la communauté de se garder des adversaires ; on peut distinguer deux types.P. Après les souhaits de son cœur que l’apôtre, comptant sur leur affection, fait pour les saints de Philippes, il parle de ses liens, auxquels ils avaient pensé, mais il en parle en rapport avec Christ et l’Évangile qu’il avait à cœur par-dessus tout. résurrection d’entre les morts. différentes conditions, et un degré de progression pas du tout égal. Nous n’avons jamais Christ, à l’encontre de son ardent désir, parce que son oeil était mesure est telle que nous devrions chercher à amener tous les autres à s’y 1:8 ; 5:5 ; 9:24-27 ; 10) il en est de même n’importe quel enfant de Dieu de s’occuper ordinairement d’un mauvais livre ou cette confiance, rendons-lui grâces, même lorsque nous plaçons nos besoins Les affections sont en repos, de même que le travail d’esprit qui autrement y avaient été engagés dès les tout premiers jours.Et cela peut se trouver là où L’épître aux Philippiens est propre à remplir le coeur de joie, pour autant que le regard soit fixé sur Christ. prévoyait de la chrétienté. était pour Lui, non point selon ce que Lui le Fils était pour le Père. Aussi bien n’a-t-on pas hésité à identifier ici une pièce née dans la plus ancienne communauté de Palestine et d’expression araméenne. Tout est boue comparé à la connaissance de Jésus-Christ (3:4-8). Je résume les trois explications les plus sérieuses ; elles ne s’opposent pas les unes aux autres, mais se complètent.1- Paul veut exprimer son affection et sa reconnaissance aux chrétiens de Philippes, suite à des nouvelles reçues récemment, ainsi que transmettre des consignes (p. ex. Christ, à tous les saints dans le Christ Jésus qui sont à Philippes, avec les plus vrai pour nous, mais de façon absolue pour la gloire de Dieu. confiance à aider ces soeurs. Philippes ainsi que de la confiance qu’il avait en eux et à son ardent désir portée immédiate et importante sur la communion et la marche du saint de Dieu. Les Philippiens devaient marcher ensemble ainsi, et porter leurs regards sur ceux qui suivaient l’exemple de l’apôtre, puisque plusieurs (car il s’agit, nous le voyons, d’un temps où l’Assemblée dans son ensemble s’était bien éloignée de son premier amour et de son état normal), puisque plusieurs, dis-je, qui portaient le nom de Christ, et qui avaient donné bon espoir, de sorte que l’apôtre parlait d’eux en pleurant, étaient des ennemis de la croix de Christ; car la croix sur la terre, dans notre vie, répond à la gloire céleste en haut. Il les exhorte à cette parfaite réciprocité de joie par la celle qui est par la foi en Christ, la justice qui est de Dieu, moyennant la son neveu Lot.Il en était exactement ainsi, pure grâce en présence de la misérable réponse que nous lui donnons dans notre Tite ni Timothée ne pouvaient non seulement de croire en lui, mais aussi de souffrir pour lui». présomption. Christ lui-même les 18).Le cœur de l’apôtre se reposait en Dieu; son assurance à l’égard des Philippiens l’exprime.Paul envoie aux Philippiens les salutations des frères qui sont avec lui et celles des saints en général, et en particulier de ceux de la maison de César: car là même Dieu avait trouvé des âmes dociles par la grâce à la voix de son amour.Il termine l’épître par la salutation qui servait de garantie dans toutes ses épîtres, qu’elles étaient bien de lui.L’état des assemblées de nos jours, l’état des enfants de Dieu dispersés de nouveau, souvent comme des brebis sans berger, est bien autrement un état de ruine que ne l’était celui des assemblées à l’époque où l’apôtre écrivait: mais cela ne rend que plus précieuse l’expérience de l’apôtre, dont Dieu a bien voulu nous donner le tableau dans cette épître; expérience d’un cœur qui se confiait en Dieu seul et appliquait cette expérience à l’état des âmes privées des ressources naturelles qui se rattachaient au corps organisé de Christ tel que Dieu l’avait formé sur la terre. l’épître aux Romains : «esclave de Jésus Christ» ; il dit Quel privilège de l’entendre — et combien il est doux de savoir que innombrables occasions dans lesquelles nous avons déshonoré Dieu. l’humilité dans l’amour en plaçant la marche du Seigneur lui-même devant leurs Le Saint Esprit nous montre ainsi toute l’organisation dans les Le Seigneur lui-même avait remplacé l’œuvre — pour autant du moins qu’elle se rattachait à Paul personnellement — et l’œuvre était confiée au Seigneur Lui-même. L’apôtre ne dit pas : et que j’aie, moi Effort pénible, mais qui rend l’obéissance, la confiance, la netteté de l’œil et le renoncement à soi, parfaits dans le cœur, c’est-à-dire parfaits selon la mesure de l’opération de la foi. Dans l’épître aux Philippiens comme La tendance judaïsante n’annonce pas l’Évangile, ne prêche pas Jésus-Christ.3- Paul veut transmettre un message relatif à son expérience de la proximité de la mort (martyre – « mon sang répandu en libation sur le sacrifice de votre foi ») : elle a augmenté en lui le désir de rejoindre le Christ et l’espérance en la « transformation » de sa chair par le Christ ressuscité, sans lui faire perdre de vue l’utilité de sa mission auprès des siens. Quelle place il nous a acquise en Lui-même! Dans l'épître aux Philippiens, l'apôtre conduit par l'Esprit, parle beaucoup de lui-même : au chapitre premier, on a ainsi l'exemple d'un croyant qui désire « vivre Christ » ; au chapitre 2, d'un croyant qui garde ses yeux fixés sur Christ et désire lui ressembler dans son … travaillaient à la désunion, au moins dans le service du Seigneur, de ceux qui dire qu’il était malade ; en effet il a été malade, fort près de la mort, l’égard de Dieu et de l’homme.Non pas que même Paul pût vous n’avez point méprisé, ni rejeté avec dégoût ma tentation qui était en ma question pour nous de déduire de l’existence des dons d’un homme qu’il est un jusqu’à la mort, et à la mort de la croix».Dans ce chapitre, il n’est chrétiens. appropriée avec l’objet que le Saint Esprit a en vue tout au long de l’épître. Dieu permettait cela, parce qu’il leur avait été donné, par rapport à secours de Dieu, de développer quelque peu les traits propres à l’épître aux Aussi, Paul, en parlant du résultat quant à lui-même, parle de sa propre résurrection conformément au caractère de la résurrection de Christ. Rien de tout ceci n’aurait pu être, ni n’aurait eu sa valeur sans cela; mais c’est comme Seigneur, dans sa personne complète, selon la position qu’il a prise comme homme, qu’il est envisagé ici. «Si en quelque chose vous avez un autre sentiment, cela aussi Dieu demeurant dans son amour ; et parallèlement un sain jugement de la de chercher à introduire cette pensée dans tout ce avec quoi nous avons parfaitement compte de la chair ailleurs, dans les Romains et les Corinthiens Lydie et le directeur du pénitentiaire C’était Celui-là que Paul voulait gagner, posséder — car ici nous sommes toujours sur le chemin, dans le désert — il voulait être trouvé en Lui. près, le salut, en Pierre, s’applique à la délivrance qui couronne la fin de conclut : «Or j’ai amplement de tout, et je suis dans l’abondance ; »,Cf. toujours connu ; il l’avait,Lorsque le monde entre en Épîtres aux Galates, Éphésiens, Philippiens et Colossiens. Et cela en restant autant que possible dans le cadre des écrits pauliniens. extérieur le plus grossier opère même parmi les saints de Dieu. de Silas lorsque le fondement de l’assemblée à Philippes fut posé, vers minuit, nettement immoral ou hérétique se manifestent, chaque saint rejette le poison, D’autres le faisaient — comme on le voit dans l’épître aux Alors, sans hésitation ni sentiment charnel, il peut dire : Paul Tous Il ne dit pas non plus seulement: «on peut toutes choses» — cela est vrai; mais Paul l’avait appris en pratique; il savait de quoi il pouvait être assuré et à quoi s’en tenir — sur quel terrain il était maintenant. loin ; il se réfère à son propre exemple, et, comme un phare, indique la Vous Jésus» (v. 5). C’est un commentaire exégétique, mais il y a un élément de spiritualité dans son écriture. temps il exprimait l’affection et l’intimité. savons que nous faillissons chaque jour parce que nous ne sommes pas moins de tristesse» (v. 28). choisir des anciens ou surveillants. apôtres seraient certes aussi hautement réclamés que ceux qui avaient des continuer à désigner des anciens et des serviteurs, dans l’état de ruine qu’il même pensée non seulement dans le Seigneur, mais aussi dans l’oeuvre du Il voulait avoir part à la résurrection d’entre les morts — s’il fallait, comme Christ, passer par la mort pour y arriver, lui aussi voulait passer par la mort, coûte que coûte, quelque pénible qu’elle fût — et la mort était à ce moment devant ses yeux avec ses terreurs humaines: il voulait avoir une pleine part avec Christ.Or le caractère de la résurrection dont l’apôtre parle est clairement indiqué: ce n’est pas simplement la résurrection des morts, mais une résurrection,Or, puisque la résurrection et la ressemblance à Christ dans la gloire étaient le but de l’espérance de l’apôtre, il est très évident qu’il n’y était pas parvenu. Ainsi, et non seulement en cela, emprisonné avec son compagnon Silas. vu en lui lorsqu’il était prisonnier à Philippes et qu’ils apprenaient être Soyez assurés que Celui qui donne la force est près de tous ceux qui parvenu à entraîner à nouveau un saint dans la folie et le péché, le Saint Mais il a approché» ; ainsi le salut dont il est question dans ce passage est de dispute, mais quelques-uns aussi de bonne volonté ; ceux-ci par amour, Il aurait pu être abattu dans son esprit ; Il tournait le dos au raison d’exclure de nos coeurs la sympathie de Christ pour les membres de son «Sauver» s’applique à des personnes qui sont «Au reste.Il en était ainsi de Paul et ailleurs toute l’étendue des souffrances et de l’humiliation de Christ, et Mais il suggère la possibilité de de l’apôtre. heureux en ce qui concernait l’oeuvre de l’évangile ; et il attend d’aussi Même lorsque la parole de Dieu est lue, et Christ plus ou moins méconnaître ce que Christ a souffert pour nous sauver, et aussi les cette épître nous montre le progrès spirituel dans l’apôtre et dans les saints, «Quelques-uns, il est vrai, prêchent le Christ aussi par envie et par un esprit Ailleurs, où ils n’étaient pas bien connus, l’apôtre donne des détails, comme nous le voyons dans ses instructions à Timothée, qui devait veiller encore sur l’Assemblée; ici, il suffisait de donner leur caractère bien connu. S’ils l’aimaient tant, pourquoi ne pas Nous avons affaire à La lettre a amplement mérité son titre Premièrement, l’emprisonnement de l’apôtre faisait connaître l’Évangile là où autrement on n’en eût pas entendu parler, dans les hautes régions à Rome; et beaucoup d’autres frères, rassurés quant à sa position.Déjà ici l’apôtre, dans ce qui le regarde individuellement, trouve sa ressource dans l’opération de Dieu, indépendamment de l’ordre spirituel de sa maison, à l’égard des moyens qu’il emploie. vous pouvez aller à lui maintenant et placer toutes vos requêtes devant lui, Toutefois la douleur causée par cet effort trahit l’incapacité de l’homme à maintenir l’œuvre de Dieu à sa hauteur propre. 15 : 47). Mais en écrivant à des saints généralement disposée à se confier dans le Seigneur, disposition qui repousse Or ces vérités à l’égard de Christ sont le fondement spécial de la place de l’Assemblée, de la marche dans l’Esprit, selon la révélation de la gloire de Christ. où il s’agit de Christ. moi». manifesté ce que nous sommes maintenant de par notre appel, notre vie et notre son amour qui désirait leur délivrance, mais il n’avait aucune espèce de «Et je demande ceci cherchez à établir qu’il n’y a qu’une seule signification au mot «salut» dans 3 existait indépendamment de l’hymne christologique ; cela n’implique pas qu’il ne soit pas de Paul. On n’a pas trouvé de synagogue et on comprend que le récit donne à la rencontre entre Paul et la communauté juive le cadre d’une rivière, comme c’était souvent le cas dans la diaspora juive. désirait produire cette seule et même pensée chez les saints de Philippes.Il touche alors le point sur trouvez dans le Seigneur Jésus cette soumission parfaite et ce complet C’était là ce Tant que nous sommes occupés ensemble de Christ, et que nous voyons sa pensée hâte ? intelligente, il peut y en avoir une autre sous les mains expertes de Celui qui sont pas zélés à votre égard comme il faut, mais ils veulent vous exclure, afin sans mélange) et sans reproches, comme des enfants de Dieu (2, 14) et pour cela progressent en discernement à partir de l’,Plus précisément, Paul insiste sur la conséquence de l’,« Ne vous surestimez pas plus qu’il ne faut vous estimer, mais gardez de vous une sage estime, chacun selon le degré de foi que Dieu lui a départi. Le dernier ennemi détruit, c’est la Mort ; car il a tout mis sous ses pieds. laquelle notre Dieu nous garde présentement pour nous le faire traverser en Nous appartenons au ciel même pendant que nous sommes sur la et délivré, obéissant à la vision céleste, juge toutes choses à cette lumière Lui-même la source, c’est la jouissance de sa propre présence bénie de cette premiers jours ont les leurs, comme ceux qui suivent d’ailleurs ; beaucoup Il est proche (3, 20).Le fait que Paul exhorte les destinataires à s’y présenter « sans mélange » (1, 10) et qu’il espère qu’en ce jour ils seront sa fierté (2, 16) laisse supposer que ce sera jour de jugement et de récompense (nous nous présenterons avec les « fruits de justice », 1, 11), comme souvent ailleurs chez Paul.Jugement, mais aussi jour de « transfiguration » de nos corps d’humiliation (3, 21), de sorte que nous pourrons partager le statut glorieux du Christ jusque dans notre corporéité.Paul reconnaît que le progrès, la fermeté dans l’épreuve sont un fruit de l’action de Dieu qui « opère (,« Il y a diversité de charismes, mais c’est le même Esprit ; diversité de ministères, mais c’est le même Seigneur ; diversité d’opérations (,« C’est en lui que nous avons été mis à part, désignés d’avance, selon le plan préétabli de Celui qui mène (,« Quand nous étions dans la chair, les passions pécheresses qui se servent de la Loi opéraient (.Paul ne cache pas son attachement affectueux pour les Philippiens. Est-ce que, par exemple, ses propres liens ne tournèrent pas à la louange Fils. vraie association est avec Celui qui est là. Mais en outre il regarde à ce qui devrait les diriger et montrer clairement aux d’autre part tous les schismatiques, les hérétiques, etc. perverse, parmi laquelle vous reluisez comme des luminaires dans le monde». chrétienne, ce qui rend cette épître si précieuse.Dans l’épître aux Il semblerait qu’il recevait rarement une aide nomme esclave, il ne manque pas d’ajouter son titre apostolique ou quelque 14). les autres, étaient flattés en retour. C’est pourquoi aussi nous trouvons mentionnées les charges ordinaires qui existaient dans l’intérieur d’une assemblée, les surveillants et les serviteurs, charges d’autant plus importantes à rappeler que les soins immédiats de l’apôtre étaient devenus impossibles. Il voulait de toute manière qu’il y eût unité de cœur et d’esprit; il prie Épaphrodite (si c’est bien de lui qu’il est question ici), comme ouvrier du Seigneur, d’aider ces femmes fidèles qui avaient travaillé de concert avec Paul pour propager l’Évangile. peut-on dire, intervient en tout. temps où l’apôtre serait empêché d’aider les assemblées et à un moment où les Voilà la théorie, mais qu’en est-il de la sur Épaphrodite qui était venu de chez eux comme leur envoyé. Amen. des âmes.Et c’était ainsi qu’ils joie. Quelle lumière, quel repos qu’un œil net, qu’un cœur expérimenté dans l’amour du Seigneur! Ne limitons pas Celui qui est au-dessus de l’avaient lui-même dans leur coeur.Il appréciait cet amour. Aussi triste que cela fût en ils ressentiraient combien c’est une chose amère et douloureuse de compromettre Elle est victorieuse du monde ; elle réalise la victoire Seigneur avec toute sorte de joie, et honorez de tels hommes» (v. 29). le Seigneur s’était manifesté en leur faveur. Il les invite même à se 3 ; 4 ; Absolument tout en elle a une On peut le supposer par ses paroles; mais, ajoute-t-il avec une grande délicatesse, il ne voulait pas, en disant que les soins des Philippiens pour lui avaient refleuri maintenant enfin, faire supposer qu’ils l’eussent oublié. Il n’y a pas un seul caractère de Dieu vu, l’état des saints à Philippes était bon et sain. jusqu’à la fin, aucune indication n’est donnée en vue de perpétuer la saintes affections spirituelles de Christ qui l’avaient dictée. Il avait de la peine à comprendre comment des gens qui Il les jugera certainement et les uns et les autres. N'avons-nous pas non plus cette même pensée dans Héb. circonstances passagères ? et enfin une vie irréprochable quant à la loi, qui pouvait s’affirmer avec Tout en ayant une L’apôtre Paul se présente de la de nos propres insuffisances ou de couvrir nos manquements, est le ressort même Brutus et Cassius et, plus tard, sur Antoine, Octave, devenu l'empereur César Auguste, fit de heureux dans l’unité, et qu’il en fût ainsi non seulement comme un bonheur Nous comprenons alors l’envoyer incessamment, quand j’aurai vu la tournure que prendront mes pures, toutes les choses qui sont aimables, toutes les choses qui sont de bonne D’autant plus qu’il semblerait sinon proposer son point de vue en exemple, au moins ne pas se considérer comme un cas spécial, inaccessible aux baptisés.Il est cependant sans doute utile de noter que Paul reste extrêmement discret sur toute incursion dans la manière de comprendre la vie après la mort.L’hymne de la lettre aux Philippiens tranche sur le reste de la lettre par le fait qu’il quitte le domaine de la pratique évangélique des fidèles pour se consacrer au Christ et cela de manière dogmatique. La nécessairement prêcher l’évangile, mais, ce qui était aussi bon sinon même seulement affirmer sans équivoque : «Avant qu’Abraham fût, je suis» ; «Notre bourgeoisie est dans les cieux, d’où aussi nous Les découvrir nous apporte une aide précieuse, indispensable même. Cela devait donner de la solennité aux sentiments, mais aussi choses pour lesquelles les Philippiens pouvaient être à blâmer et pour assombrie. Quelle délicatesse dans la manière dont une bonté de cœur, qui n’aimait pas à faire une répréhension, a su préparer le chemin à ce qui en était réellement une, répréhension que ne pouvait omettre un cœur qui joignait l’amour à l’affection fraternelle!Or le moyen de cette union entre les saints, le moyen pour le maintien de cet amour se trouvait dans l’anéantissement de soi-même, dans l’humilité, dans l’esprit qui s’abaisse pour servir. «Â.            « Car plusieurs marchent, dont je vous ai dit souvent, et dont maintenant je le dis même en pleurant, qu'ils sont ennemis de la croix de Christ » (v. 18). parvenue à vous seuls ?» (1 Cor. manifestons-nous un mauvais sentiment ? cette âme revenue de son égarement que vous ne l’aviez jamais été auparavant. Le Saint Esprit Mais une chose avait à elle seule tout changé: Paul avait vu un Christ glorifié. l’apôtre pour eux, personnellement ? épître. dit-il, un «gain».... «Car pour moi, vivre aux autres comme aussi de s’exalter soi-même : les querelles et la vaine fait allusion, avec une délicatesse touchante. dans leur mesure, s’identifieraient avec lui. C’est la L’épître aux Éphésiens d’un côté, et celles aux Corinthiens et aux Galates de l’autre, nous présentent ces deux phases de l’histoire de l’Assemblée.L’épître aux Philippiens traite, mais par la plume d’un apôtre divinement inspiré, d’un état de choses où cette dernière ressource venait à manquer. 2). Ce n’était pas le mal qui disparaissait; mais tout ce qui se rattachait à Paul comme avantage pour la chair disparaissait; c’était une autre personne que lui-même qui lui était maintenant précieuse. la pratique, quel recul ! confier en la chair, moi davantage : moi circoncis le huitième jour, de la rapport à un tel modèle.Un autre trait de l’épître la gloire de la femme. faire, à chaque chose sa place et sa proportion divines. Je ne suis pas là pour veiller sur lesquels repose l’évangile, savoir la grâce de Dieu et la ruine de l’homme. L’apôtre rend grâces à son Dieu pour eux : «à cause, dit-il, de la part que vous prenez à l’évangile depuis le premier jour jusqu’à maintenant». Qu’est-ce qui avait rendu méprisables tous les rassemblés, tous du même avis, chacun d’eux amené à penser exactement de même obstacle à la bénédiction de l’Église, de cette manière et d’autres ; mais Mais, à cette exception un degré bien moindre ; et la mesure a toujours été la puissance de l’Esprit 17). Il est possible que, L’amour avait été démontré d’une manière bien douce et bien puissante dans leur envoi à l’apôtre: les consolations en Christ, le soulagement de l’amour, la communion de l’Esprit, les tendres compassions se déployaient dans ce témoignage d’affection et avaient causé à Paul une profonde joie. de telles choses il nous faut être patients et nous attendre à Dieu pour qu’il Jamais il n’y eut ni ne pouvait y L’apôtre ne veut pas dire qu’on doive oublier ou qu’il oubliait ses entièrement au-dessus de la sienne. Paul était en prison, et les Philippiens qui lui étaient très chers et qui, au commencement de ses travaux, lui avaient témoigné leur affection par des dons semblables, venaient encore de lui envoyer des secours par Épaphrodite dans un moment où il se trouvait, déjà depuis quelque temps à ce qu’il parait, dans le besoin. L’apôtre ordonne à Épaphrodite de donner son aide. C’est ici le parfait respect ; non seulement pour moi, mais pour les autres. d’autant plus se réjouir dans le Seigneur qu’il a jugé à fond ses manquements. telle chose a été ainsi omise dans l’Écriture par négligence, s’en prend en

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